L’humidité ascensionnelle :
Crée des dégradations aux matériaux et/ou aux finitions.
Pour y remédier, nous créons une barrière efficace et définitive contre les remontées d’eau par capillarité.
Nous travaillons par injections.
C’est le système le moins destructeur.
Il permet une mise en œuvre rapide et illimitée dans le temps.
L’humidité de surface :
Les murs orientés au sud-ouest sont exposés aux pluies battantes, outre les dégradations aux finitions (plafonnage, peintures, etc…) un mur mouillé provoque une dégradation thermique et favorise le développement de moisissure et champignons.
Pour y remédier, nous appliquons un traitement hydrofuge contre la pénétration des eaux de pluie et des agents de pollution.
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Qu'est ce que c'est ?
La mérule est un champignon qui se nourrit de bois (surtout des résineux). Sa vitesse de croissance peut être relativement élevée et ses effets dévastateurs sur tout élément tel que la charpente de toiture, les gîtages et planchers, les escaliers, portes, lambris et revêtements de mur et de plafond, les linteaux et menuiseries extérieures. Quand on constate la présence de la mérule dans un immeuble, il ne faut donc pas tarder à agir.
Comment se développe-t-elle ?
Comme pour n'importe quel champignon, les spores microscopiques de la mérule sont présentes un peu partout dans l'air. En se déposant sur une boiserie humide, dans une pièce à température relativement constante, elles germent et se développent en filaments appelés hyphes qui s'enchevêtrent pour former le mycélium. Celui-ci attaque les boiseries, qui pourrissent, se fragilisent, et deviennent tendres.
Le carpophore est le stade ultime de développement du champignon. C'est en fait lui qui produit les spores qui assureront la reproduction de l'espèce. Il a l'aspect d'une crêpe brun-rouille, parfois bordée de blanc, présentant une certaine consistance.
La mérule n'arrêtera pas sa progression lorsqu'elle aura épuisé toutes les ressources nutritives du bois sur lequel elle s'est installée. Elle progressera sur et au travers des maçonneries à la recherche d'autres boiseries, même si celles-ci sont sèches et saines. Elle peut, en effet, par son réseau de filaments mycéliens, transporter l'eau dont elle à besoin.
C'est ainsi que ce champignon peut faire des dégâts spectaculaires et rapides dans des endroits parfois inattendus. Ainsi, une maison mitoyenne, à l'origine parfaitement saine, peut subir le préjudice de la mérule provenant du bâtiment voisin où il existe des problèmes d'humidité.
En outre, si le champignon ne se trouve plus dans les conditions nécessaires à sa croissance, il ne meurt pas immédiatement. Il peut vivre à l'état de veille pendant des années et recommencer une nouvelle progression quand les éléments qui lui sont indispensables sont à nouveau présents.
Comment découvrir sa présence ?
Il n'est pas toujours facile de déceler une attaque de mérule quand on n'est pas spécialiste. C'est d'autant plus compliqué que le champignon reste souvent confiné à l'arrière des boiseries sans révéler, pour le profane du moins, de signes réellement visibles de sa présence.
Quelques indices peuvent toutefois vous en faire prendre conscience :
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La déformation, même légère, des boiseries (plinthes et chambranles incurvés et bombés) doit vous rendre attentif.
A un stade plus avancé de l'attaque, le bois perd sa consistance (en poussant avec un objet pointu, vous passerez au travers) et se désagrège en petits cubes. Au moment du dégagement des parties attaquées se répand une forte odeur de champignon.
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Méfiez-vous de la présence de filaments ou de flocons blanc-gris d'une certaine consistance sur des chambranles, des plinthes ou des murs.
Mais assurez-vous que ce n'est pas simplement de salpêtre (efflorescence de sels minéraux). Un petit test vous fixera rapidement. Si la matière blanchâtre que vous frottez entre le pouce et l'index tombe en poussière et vous laisse les doigts gras, il ne s'agit que de salpêtre.
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Par contre, vous n'hésiterez pas devant cette crêpe brun-rouille, parfois bordée de blanc, qu'est le carpophore.
Attention: si un carpophore s'est développé, la quantité de spores à cet endroit est très importante. Evitez d'éparpiller dans d'autres pièces ces spores, qui ressemblent à de la poussière et qui s'accrochent à vos semelles, à vos vêtements…
Attention aux tapis-plains et aux balatums qui peuvent masquer un plancher pourri. Attention aux cloisons "cache-misères".
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Il y a quelques années, les communes wallonnes ont sorti leur plan général communal d’égouttage qui servira à créer un réseau public d’égouttage et d’épuration auxquels les habitations devront être raccordées avant 2009.
Malheureusement pour beaucoup, il sera impossible d’être raccordé à ces réseaux. Mais il y a une possibilité de faire installer une station individuelle d’épuration.
La région wallonne a prévu un système de prime pour l’installation de ces stations d’épurations.
Nous installons un des 4 systèmes actuellement agréé par la Région Wallonne.
Pour plus d’informations, il est souhaitable de s’adresser au service d’urbanisme de sa commune (permis, primes, …)
www.epux.be
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Apprentis, stagiaires : depuis la création de l’entreprise, nous nous sommes toujours préocupés de la formation des jeunes. Nous accueillons régulièrement des stagiaires de différentes écoles de maçonnerie, voir même des stagiaires ingénieurs / architectes, …
Nous accueillons également des aspirants compagnons-maçons, charpentiers, couvreurs.
Nous formons des apprentis en maçonnerie. L’institut de formation permanente pour les classes moyennes, petites et moyennes entreprises (IFPME) nous a agréé pour la formation d’entrepreneurs, restaurateurs, rénovateurs de bâtiments anciens. |